Chacun son langage
La vie telle
quelle
Rien n’est plus
quelle
Sur les ondes
malsaines
Se cache les
aubaines
Du mieux au pire
Sans vraiment
savoir
Reste Que dire
A trop vouloir
On créer un
vilain espoir
On fait aller
Y’a toujours une
bouée
Venir d’ailleurs
pour n’aller nulle part
Sur cette Terre
mouillée, prend gar.
Fait ton lacet,
en terre mouillée
C’est tout
tracé, prend ton billet
Après 40 ans, on
n’est pas content d’avoir essayés
Nous simples
enfants sont devenus chiendent
Elle fronce nos
sourcils
cette terre d’asile
Copieuse pour
l’un
Mélodieuse pour
l’autre
Ennuyeuse pour
lui
Emmerdeuse pour
elle
Quand on
fabrique de l’espoir
Comme notre foi de la bile
Ou fois débile
En bouche la salive
On se laisse
avoir et noir,
Il devin noir le
tableau,
Sans poignard,
Tout en
cauchemar
Il est toujours
là
Ce putain
d’espoir
Quel
connard !!